mercredi 3 décembre 2014

Marisa Monte, ma chanteuse brésilienne

Après quelques mois de silence radio, je rallume la radio de ce blog en vous présentant une de mes chanteuses préférées qui est brésilienne: Marisa Monte.

Elle a été saluée comme une nouvelle sensation sur la scène de la musique brésilienne dés les débuts de sa carrière. Une artiste immensément reconnue dans son pays et dans la majorité des pays d'Amérique du sud. Reconnaissance aussi avec certaines chansons dans nos pays occidentaux. Malheureusement, elle ne passe pas souvent sur nos radios commerciales étant donné qu'elle ne chante qu'en brésilien.

De plus, c'est une jolie fille donc j'ai encore plus de plaisir à la regarder tout en écoutant ses chansons. Elle compose et produit toutes ses chansons tout en étant une multi-instrumentaliste. Donc du grand talent avec un grand T.

Marisa Monte, de son vrai nom, Marisa de Azevedo Monte est née à Rio de Janeiro le 1er juillet 1967. Durant son enfance, elle grandira les pieds dans la musique en étudiant le chant, le piano et la batterie. 

lundi 11 août 2014

Mercado del puerto

Situé dans le quartier de la Ciudad Vieja, nous allons parler du Mercado del Puerto (Marché du port) qui est une des attractions touristiques de la vieille ville et de la ville de Montevideo.

Tous les dépliants/guides touristiques vous mentionneront cet endroit. On ne risque pas de le louper à moins de fuir la masse des touristes surtout durant la saison estivale.

En dehors de la saison estivale, on est plus tranquille et plus ''terre à terre'' avec les habitants du quartier ou de la ville. Comme on peut s'en douter d'après le nom, ce marché se trouve...proche du port. 

A l'origine, l'histoire de ce marché est une initiative du marchand espagnol Pedro Saenz de Zumarán. Il concevra et organisera une société privée afin de construire un nouveau marché qui manquait cruellement dans cette partie de la ville.

dimanche 8 juin 2014

Le recensement et les statistiques en Uruguay

Finalement après avoir analysé le recensement du Brésil depuis un bon bout de temps, je vais enfin analyser celui de l’Uruguay. 

Bon d’accord, le dernier recensement a eu lieu fin 2011 mais comme on dit, il n'est jamais trop tard surtout dans le contexte latin. C'est l'Instituto Nacional de Estadística (Institut nationale des statistiques) qui est en charge de ce travail.

J’ai eu l'honneur d’y avoir répondu étant donné que j’habitais sur Montevideo même si je n'avais pas la citoyenneté uruguayenne. Par contre, ma conjointe devait y répondre en tant qu'Uruguayenne. En Uruguay, on recense tout le monde (y compris les extranjeros) et ce recensement est obligatoire. Toutefois, on peut trouver quand même des récalcitrants qui ne veulent pas répondre pour diverses raisons.  Généralement, la raison que j'ai entendu était que la personne était contre le gouvernement. Réponse nulle car cela n'a rien a voir avec le gouvernement mais c'est pour les statistiques du pays. Bref...

samedi 24 mai 2014

Histoire du Graf Spee

Alors que nous parlons de la deuxième guerre mondiale sur le front de l'Europe, de l'Afrique du nord, de l’Océanie, etc, on oublie que des épisodes se sont déroulés dans d'autres points du globe comme dans les eaux d'Amérique du sud avec la célèbre bataille du Río de la Plata qui impliquera les anglais et les allemands.

Durant la deuxième guerre mondiale, l'Uruguay ainsi que l'Argentine furent des pays neutres. La bataille du Río de la Plata impliquera entre autre le cuirassé de poche Admiral Graf Spee qui appartenait à la Kriegsmarine (marine de guerre). Le nom du cuirassé provient du comte Maximilian Johannes (Graf) von Spee (né à Copenhague le 22 juin 1861 et mort le 8 décembre 1914) qui fut un amiral de la marine impériale allemande.

La construction du cuirassé commença le 23 août 1932 dans le port naval de Wilhelmshaven. Le cuirassé fut lancé le 30 juin 1934 et recevra son plein armement le 6 janvier 1936. Il faisait 186m de longueur et il était propulsé par huit moteurs diesel avec une puissance de plus de 57 000 CV.

lundi 14 avril 2014

Immigration: Les colons de Nueva Burdeos



Finalement je reprend mes articles après un silence de quelques semaines. Il faut que je rattrape un peu mon retard pour mes lecteurs ;)

Cette fois-ci, je vais aborder un sujet assez méconnu chez nous car j'en avais jamais entendu parler jusqu'à tomber vraiment par hasard, un jour, sur un début d'article dans un petit journal local de ce pays. Puis en faisant une recherche plus poussée, j'ai découvert un peu plus d'information sur ce sujet grâce à certaines sources françaises et paraguayennes.

Cette fois-ci, je vais parler d'un autre petit pays d’Amérique du sud coincé entre les pays géants que sont le Brésil, l'Argentine et la Bolivie. Nous nous transportons au Paraguay dont la capitale est Asunción.

Malheureusement, je ne suis pas allé à Asunción mais j'ai seulement visité (enfin ''visité" est un grand mot) Ciudad del Este dont je vous en parle dans cet article. Par contre, il parait que la capitale est pas mal.

jeudi 20 février 2014

Immigration illico presto?

Nous allons parler d’immigration, sujet que je n’avais pas abordé depuis bien longtemps. On pourrait même dire depuis mon départ d’Uruguay. Pourquoi en parler maintenant? Eh bien, il va avoir des changements. Oui, oui ! des changements ! J’ai documenté dans la catégorie ‘’Immigration’’ à droite, mes démarches à travers lesquelles il a fallu que je passe afin d’essayer d’obtenir ma résidence en Uruguay.

Malheureusement, ces démarches n’ont abouti à rien dans mon cas car je me suis heurté à un mur un peu dur de fonctionnaires.

Mais cela n’engage que moi dans le résultat de ces démarches car je connais des gens qui réussissent à avoir le sésame bien que le parcours soit semé d’embûches en tout genre. Mais bon, cela ne m’a pas empêché de rester en Uruguay car j’avais obtenu un visa qui m’a permis de rester jusqu’à ce que mon compte en banque soit presque vide.

dimanche 2 février 2014

Les autobus d'autrefois

Comme vous avez pu voir sur ce blog, j'ai une section sur les véhicules car j'aime tout ce qui roule sur quatre roues au moins. Et c'est pour cela que je vous ai fait des présentation de voitures par marque bien que je n'ai pas fini. Par la suite, j'ai rajouté les camions. Cette fois-ci, je vais parler de bus car on trouve pas mal d'anciens bus qui roulent encore bien qu'ils ont tendance à disparaître pour raison de vieillesse et surtout de mise à jour des normes de sécurité.

Toutefois, à l'occasion de certaine événements comme par exemple El Día del Patrimonio (Jour du patrimoine), certaines compagnies de transport de Montevideo ressortent de vieux bus de leurs garages afin d'en faire profiter les habitants et les touristes. Occasion pour les personnes âgées de se remémorer de bons souvenirs en disant que tout était mieux de leur temps.

jeudi 16 janvier 2014

Écrivain: Isodore-Lucien Ducasse

Et voila notre trio d’écrivains uruguayens d'origine française qui est complété avec ses compatriotes Jules Supervielle et Jules Laforgue. Par rapport à ces compatriotes, la vie d’Isidore Ducasse ou bien sous son pseudonyme de Comte de Lautréamont, auteur dont le succès fut posthume, reste relativement mal connue, par manque de sources.

L’écrivain est le fils de François Ducasse, né le 12 mars 1809 à Bazet au nord de Tarbes et de Jacquette-Célestine Davezac, née le 19 mai 1821 à Sarniguet près de Tarbes. 

François Ducasse émigre vers l'Uruguay vers 1839/1840 car il est détaché comme commis-chancelier à la légation (consulat général) de France à Montevideo. Il fera ce voyage comme des milliers de Basques , de Béarnais vers ce pays d’Amérique du sud malgré le fait que l’Uruguay soit à ce moment en guerre avec l'Argentine.

Sa femme le rejoindra en 1841 sur Montevideo.

vendredi 3 janvier 2014

Le passage du nouvel an

Et voila, nous avons passé un nouveau cap et nous nous retrouvons en 2014. Je sais que le temps passe à une vitesse grand V comme tout ce qui se trouve autour de nous. On court tellement après le temps que l'on ne sait plus où donner de la tête et on n'a plus le temps de penser au temps de dire stop!

Cette société qui nous entoure change constamment avec ces codes de modernité, de nouvelles technologies puis patatrac, si on suit pas, on se retrouve démodé comme les fringues, la musique, la technologie, les traditions bref c'est comme cela que l'on se fait cataloguer d'antiquité, de rustique, de vieille branche et j'en passe. Est-ce que tout change si vite?

Et bien non!

Il y a une tradition qui existe dans les rues de la Ciudad Vieja (vieille ville) de Montevideo qui ne change pas d’année en année. Une chose toute simple mais qui fait le bonheur de beaucoup de gens mais aussi le grand malheur des autres. Le jet des calendriers et de l'eau.

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